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Le Programme d’action trace les lignes à suivre pour donner plus de pouvoir aux femmes. Il vise à accélérer l’application des Stratégies prospectives d’action de Nairobi pour la promotion de la femme et à éliminer tous les obstacles qui empêchent les femmes de jouer un rôle actif dans tous les domaines de la vie publique et privée en participant pleinement, et sur un pied d’égalité, à la prise de décisions dans les domaines économique, social, culturel et politique. Elle repose donc sur le principe du partage des pouvoirs et des responsabilités entre hommes et femmes dans les foyers, sur les lieux de travail et, plus largement, au sein des communautés nationales et internationales. L’égalité des femmes et des hommes relève des droits de l’homme et c’est une condition de la justice sociale; c’est aussi un préalable essentiel à l’égalité, au développement et à la paix. Un nouveau partenariat fondé sur l’égalité des femmes et des hommes est indispensable si l’on veut parvenir à un développement durable au service de l’individu. Un engagement soutenu et durable.
Quatre ans après les printemps arabes, la question de la condition féminine se révèle comme un enjeu majeur dans le travail de réorganisation politique des différents pays.
Le présent document est un article publié par AMNESTY INTERNATIONAL, il traite le projet de loi Algérien visant à renforcer la protection des femmes contre certaines formes de violence (la violence physique) en mettant l’accent sur la nécessité d’adopter-de la part des députés- les dispositions du projet qui érigent en infractions pénales la violence physique à l’encontre d’un conjoint et le harcèlement sexuel. A travers cet article AMNESTY a mit l’accent sur les limites de loi et les défis liés à la législation et aux femmes victimes de violence et a rappelé l’urgence d’adopter une approche globale afin de lutter adéquatement contre les violences de genre.
Le présent document est un article de presse relatif à l’enquête national sur la violence à l’égard des femmes, réalisée en 2010, en étroite collaboration avec les Organisations non Gouvernementales. Cet article a décrit le processus de l’enquête dans sa première phase (2006-2010) et a souligné que le travail sur terrain a touché 4200 familles de toute la Tunisie. L’accent a été mise sur le paradoxe vécu par la femme tunisienne qui marque, d’une part, une présence massive dans la vie active et se trouve, d’autre part, de plus en plus exposée à la violence notamment conjugale.
Le présent document représente un article sur le traité élaboré par le conseil de l’Europe, visant à améliorer la vie des femmes et filles victimes de violence basée sur le genre. A travers cet article, il a été souligné qu’une fois la convention signée et rectifiée par les Etats, ces derniers sont obligés à prendre des mesures spécifiques pour lutter contre toute les formes de violence à l’égard des femmes. Deux mécanismes de contrôle vont être appliqués : un groupe d’experts indépendant rendra compte du respect des normes de la convention et un comité des parties pour principale mission d’adresser aux Etats parties des recommandations pour atteindre les objectifs de la convention.