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La Commission de la condition de la femme (CSW) est le principal organe intergouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et à l'autonomisation des femmes. Durant sa session annuelle qui dure deux semaines, des représentants des États membres, des organisations de la société civile et des entités des Nations Unies se réunissent au quartier général des Nations Unies à New York pour faire le point sur les progrès accomplis et s'accorder sur les prochaines actions. Les conclusions et les recommandations de chaque session sont transmises au Conseil économique et social (ECOSOC), instance de supervision de la Commission, qui se charge de leur suivi
L'édition 2018 des Perspectives des migrations internationales analyse les évolutions récentes des mouvements et des politiques migratoires dans les pays de l'OCDE et dans quelques pays non-OCDE et observe l'évolution de la situation des immigrés sur le marché du travail dans les pays de l'OCDE, avec une attention particulière cette année sur la qualité de l’emploi des immigrés ainsi que sur leur concentration dans certains secteurs et professions. Le rapport comprend également deux chapitres spéciaux, l'un sur la contribution des flux récents de réfugiés à la main-d’oeuvre et le second sur le travail illégal des étrangers. Le rapport comprend comme chaque année des notes par pays et une annexe statistique
Le document présente le rapport sur les travaux de la soixante deuxième session de la Commission de la condition de la femme qui a eu lieu au siège des Nations Unies à New York du 12 au 23 mars 2018.Les thème prioritaire de cette session consistent aux Problèmes à régler et possibilités à exploiter pour parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes et des filles en milieu rural et le thème de l’évaluation de cette session consiste à la participation et l’accès des femmes aux médias et aux technologies de l’information et des communications, les incidences de ceux-ci et leur intérêt pour la promotion et l’autonomisation des femmes (conclusions concertées de la quarante-septième session)
Ce document présente le rapport du comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes lors de la soixante-treizième session de l’Assemblée générale des Nations Unies. Le Comité a tenu sa soixante-septième session du 3 au 21 juillet 2017, sa soixante-huitième session du 23 octobre au 17 novembre 2017 et sa soixante-neuvième session du 19 février au 9 mars 2018 à l’Office des Nations Unies à Genève. Il a adopté les rapports sur les travaux de ces sessions à sa 1529e séance, le 21 juillet 2017, à sa 1569e séance, le 17 novembre 2017, et à sa 1599e séance, le 9 mars 2018
Le présent rapport, qui couvre la période allant de janvier à décembre 2017, est soumis en application de la résolution 2106 (2013), dans laquelle le Conseil de sécurité m’a prié de lui présenter, tous les ans, des rapports sur la mise en oeuvre de ses résolutions 1820 (2008), 1888 (2009) et 1960 (2010), et de lui recommander des mesures stratégiques. La période considérée a été marquée par la libération de territoires et, dans son sillage, celle de nombreuses femmes et filles détenues par des groupes armés ou terroristes, ou leur fuite. Ce nouveau contexte a rendu d’autant plus urgente la lutte contre la stigmatisation associée aux violences sexuelles qui, quand elle n’est pas fatale, peut bouleverser à jamais la vie des victimes de tels actes et des enfants nés d’un viol. Il souligne par ailleurs l’importance de l’appui à la réinsertion socioéconomique visant à rétablir la cohésion des communautés après une guerre. Dans le contexte de la crise des migrations de masse, les violences sexuelles ont continué de provoquer des déplacements forcés et de dissuader des populations déracinées de prendre le chemin du retour. Il est également arrivé, au cours de l’année considérée, que des belligérants se livrent à des violences sexuelles contre des groupes persécutés pour leur identité religieuse ou ethnique. Lorsqu’elles participaient d’une lutte pour le contrôle des terres et des ressources, les violences sexuelles liées aux conflits ont gravement mis à mal la sécurité physique et économique de femmes déplacées, vivant en milieu rural ou issues de minorités.